• La vie... l'espoir

     

    La vie... l'espoir

     

     

    « Je fais le rêve, qu'un jour les hommes,
    se lèveront et comprendront enfin,
    qu'ils sont faits pour vivre ensemble comme des frères.
    Je fais le rêve, qu'un jour,
    chaque homme différent dans le monde entier,
    sera jugé pour sa valeur personnelle,
    non sur la couleur de sa peau ou de son appartenance religieuse
    et que les hommes respecteront
    la dignité de la personne humaine...
    Ce serait merveilleux !
    Les étoiles pourront enfin chanter ensemble ! »

     

    Martin Luther King

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    « Ma fille,

    Le jour où tu trouveras que je vieillis, je te demande de bien vouloir être patiente, et surtout, d’essayer de comprendre ce que je traverse.

    Quand nous parlons, je répète la même chose dix fois, ne m’interromps pas pour me dire: « Tu viens de le dire il y a une minute ». Écoute simplement s’il te plaît.

    Rappelle-toi quand tu étais petite, tu voulais que je te lise la même histoire, soir après soir, jusqu’à ce que tu t’endormes.

     

    Quand je n’ai pas le goût prendre un bain, ne te mets pas dans l’embarras.

    Rappelle-toi quand je devais courir après toi pour essayer de t’amener à prendre une douche quand tu étais juste une petite fille.

     

    Quand tu vois combien je suis ignorante devant les nouvelles technologies, donne-moi le temps d’apprendre et ne me regarde pas comme ça.

    Rappelle-toi, chérie, je t’ai patiemment enseigné comment t’habiller, peigner tes cheveux et de trouver des réponses aux questions de la vie, chaque jour.

     

    Le jour où tu verras que je me fais vieille, je te demande d’être patiente, et surtout d’essayer de me comprendre.

    Si j’oublie ce que nous étions en train de dire, donne-moi le temps de me souvenir, et si je ne peux pas, ne t’énerve pas, ne t’impatiente pas. Il te suffit de savoir que la chose la plus important pour moi et d’être avec toi.

    Et quand mes jambes fatiguées ne me permettront plus de me déplacer aussi rapidement qu’avant, donne-moi la main de la même façon  que je t’ai offert la mienne quand tu as commencé à marcher.

    Quand ces jours arriveront, ne sois pas triste, reste juste avec moi, et comprends-moi alors que je m’en vais vers la fin de ma vie.

    Je te chéris et te remercie pour le temps et la joie que nous avons partagés.

    Avec un sourire et l’immense amour que j’ai toujours eu pour toi, je veux te le dire encore : je t’aime, ma fille chérie. »

     

                                                                                      Auteur inconnu.

                                                                                                   Texte extrait sur un montage photo sur internet.

     

     

              

     

                                     A ma mère, à ma fille, à mes enfants.


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